Donner du volume à sa poitrine

Principes / Objectifs
L’hypoplasie mammaire est définie par un volume de seins insuffisamment développés par rapport à la morphologie de la patiente. Elle peut être la conséquence d’un développement insuffisant de la glande à la puberté, ou apparaître secondairement par perte du volume glandulaire (grossesse, amaigrissement, perturbations hormonales…).
Le manque de volume peut aussi être associé à une ptôse (poitrine tombante avec affaissement de la glande, distension de la peau est aréoles trop basses). L’intervention peut se pratiquer à tout âge à partir de 18 ans.
Cette hypotrophie est souvent mal acceptée physiquement et psychologiquement par la patiente qui le vit comme une atteinte à sa féminité, avec pour corollaire une altération de la confiance en soi et un mal-être, parfois profond, pouvant aller jusqu’au véritable complexe. C’est pourquoi, l’intervention d’augmentation mammaire en Tunisie se propose d’accroître le volume d’une poitrine jugée trop petite grâce à l’implantation de prothèses.
Ces altérations physiques parfois majeures, ainsi que la souffrance psychique induite, confèrent une finalité thérapeutique à cet acte chirurgical réparateur.
Une patiente mineure n’est habituellement pas estimée apte à subir une augmentation mammaire esthétique. Elle est cependant possible dans les cas d’hypoplasies sévères ou dans le cadre d’anomalies malformatives comme les seins « tubéreux » ou les «agénésies mammaires».
Cette intervention de chirurgie esthétique ne peut pas faire l’objet d’une prise en charge par l’assurance maladie, voila pourquoi l’effectuer en Tunisie à prix compétitif est une bonne solution.
LES IMPLANTS MAMMAIRES
L’enveloppe est dans tous les cas constituée d’un élastomère de silicone. Cette membrane peut être lisse ou texture (rugueuse).
Certaines comportent du polyuréthane. Le contenu est le produit de remplissage qui se trouve dans l’enveloppe.
L’enveloppe préremplies de gel de silicone sont de plus en plus utilisées. Elles assurent au sein un palper souple proche d’une consistance naturelle. Les gels sont plus ou moins cohésifs. La cohésivité limite la perspiration, c’est-à-dire la « transpiration » du gel à travers la paroi, source possible de coque. Elle évite, en cas de rupture, la diffusion du silicone.
La forme à côté des classiques prothèses rondes assurant un beau décolleté, il existe des prothèses profilées « en goutte » dites anatomiques pour un rendu du sein peut-être plus naturel.
Cette grande variété de forme et de volume, permet d’optimiser et d’adapter le choix, presque « sur mesure », des prothèses en fonction de la morphologie de la patiente et de ses attentes personnelles.
Des évolutions constantes visent à améliorer l’étanchéité et la solidité des parois, le naturel palpatoire et visuel du rendu, la durée de vie et la tolérance des matériaux.
LES AUTRES TYPES D’IMPLANTS
Prothèses remplies d’Hydrogel :
Il s’agit d’un gel aqueux, homologué depuis 2005, composé en grande partie d’eau gélifié. Ce gel, de consistance plus naturelle que le sérum physiologique, , est lui aussi résorbable par l’organisme en cas de rupture de l’enveloppe.
Il existe enfin des prothèses dont l’enveloppe de silicone est recouverte d’une mousse de Polyuréthane qui va être « intégrée » dans les tissus environnants. Elles procurent donc une forme « d’accroche » tissulaire qui peut être intéressante dans certains cas difficiles. L’innocuité du polyuréthane étant aujourd’hui clairement admise, ces implants connaissent un certain essor depuis quelques années car ils permettraient de mieux pérenniser leur positionnement, d’atténuer le surpoids induit sur le pôle inférieur du sein et d’empêcher la rotation des implants anatomiques (sous forme de goutte d’eau). Le risque d’induire un phénomène de coque est enfin réputé plus faible. Elles présentent cependant un certain nombre d’inconvénients et de difficultés d’emploi qu’il faudra mettre en balance.
Dans tous les cas le choix du type de prothèses sera le fruit d’une discussion avec le Chirurgien qui vous conseillera sur le choix le plus judicieux dans votre cas particulier.
Avant l'opération
Un interrogatoire suivi d’un examen attentif aura été réalisé par le chirurgien qui prendra en compte tous les paramètres qui font de chaque patiente un cas particulier (taille, poids, grossesses, allaitements, morphologie thoracique et mammaire, qualité de la peau, importance de la graisse et de la glande présente, musculature…).
En fonction de ce contexte anatomique, des préférences et habitudes du chirurgien, et des désirs exprimés par la patiente, une stratégie opératoire aura été convenue. Seront ainsi prédéterminés l’emplacement des cicatrices, le type et la taille des implants ainsi que leur positionnement par rapport au muscle (cf. plus loin). Un bilan sanguin préopératoire sera réalisé conformément aux prescriptions. Le médecin anesthésiste sera vu en consultation, au plus tard 48 heures avant l’intervention. Un bilan radiologique du sein est prescrit (mammographie, échographie).
Aucun médicament contenant de l’aspirine ne deva être pris dans les dix jours précédant l’opération. On vous demandera probablement de rester à jeun (ne rien manger ni bore) six heures avant l’intervention.
L'opération d'Augmentation mammaire en Tunisie
TYPE D’ANESTHÉSIE ET MODALITES D’HOSPITALISATION
Type d’anesthésie : II s’agit le plus souvent d’une anesthésie générale classique, durant laquelle vous dormez complètement. Dans de rares cas, une anesthésie « vigile» (anesthésie locale approfondie par des tranquillisants administrés par voie intraveineuse) pourra cependant être utilisée (à discuter avec le chirurgien et l’anesthésiste).
Modalités d’hospitalisation : L’intervention justifie habituellement une hospitalisation d’une journée. L’entrée s’effectue alors le matin (ou parfois la veille dans l’après-midi) et la sortie est autorisée dès le lendemain. Toutefois, vu que l’intervention se déroule à l’étranger, vous resterez 1 à 2 nuitées en clinique avant de rejoindre votre hôtel.
L’INTERVENTION
Chaque chirurgien adopte une technique qui lui est propre et qu’il adapte à chaque cas pour obtenir les meilleurs résultats. Toutefois, on peut retenir des principes de base communs :
Incisions cutanées : Il existe plusieurs « voies d’abord » possibles :
• voies aréolaires: avec incision dans le segment inférieur de la circonférence de l’aréole, ou ouverture horizontale contournant le mamelon par-dessous.
• voie axillaire : avec incision sous le bras, dans l’aisselle.
• voie sous-mammaire : avec incision placée dans le sillon situé sous le sein.
Le tracé de ces incisions correspond bien sûr à l’emplacement des futures cicatrices, qui seront donc dissimulées dans des zones de jonction ou des replis naturels.
Mise en place des prothèses
En passant par les incisions, les implants peuvent alors être introduits dans les loges réalisées. Deux positionnements sont possibles :
• Prémusculaire, où les prothèses sont placées directement derrière la glande, en avant des muscles pectoraux.
• Rétromusculaire, où les prothèses sont placées plus profondément, en arrière des muscles pectoraux. Le choix entre ces deux emplacements, avec leurs avantages et inconvénients respectifs, aura été discuté avec vote chirurgien.
Gestes complémentaires
En cas de ptôse mammaire associée (seins tombants, aréoles basses), on a vu qu’il pouvait être souhaitable de réduire l’enveloppe cutanée du sein afin de le faire remonter (mastopexie) . Cette résection de peau se traduira alors par des cicatrices plus importantes (autour de l’aréole + vertical + horizontale dans le sillon sous-mammaire dites aussi une cicatrice en T inversée ).
Drains et pansement
Un petit drain peut être mis en place en fonction des habitudes du chirurgien et des conditions locales. C’est un dispositive destiné à évacuer le sang qui pourrait s’accumuler autour des prothèses. En fin d’intervention, un pansement «modelant» est réalisé avec un bandage élastique. En fonction du chirurgien, de la voie d’abord et de la nécessité éventuelle de gestes complémentaires associés, l’intervention peut durer une heure à deux heures trente.
Après l'opération
Les suites opératoires peuvent parfois être douloureuses les premiers jours, notamment lorsque les implants sont de gros volume et surtout
s’ils sont placés derrière les muscles les muscles (Rétromusculaire). Un traitement antalgique, adapté à l’intensité des douleurs, sera prescrit pendant quelques jours.
Dans le meilleur des cas, la patiente ressentira une forte sensation de tension. Œdème(gonflement), ecchymoses (bleus) et gêne à l’élévation des bras sont fréquents les premiers temps.
Le premier pansement est retiré après quelques jours. II est alors remplacé par un pansement plus léger. Un soutien-gorge est recommandé nuit et jour pendant quelques semaines. La plupart du temps, les fils de suture sont internes et résorbables. Dans le cas contraire, ils seront retirés au bout de quelques jours.
II convient d’envisager une convalescence avec interruption d’activité d’une durée de cinq à dix jours. Il est conseillé d’attendre un à deux mois pour reprendre une activité sportive.
Le résultat
Un délai de deux à trois mois est nécessaire pour apprécier le résultat définitif. C’est le temps nécessaire pour que les seins aient retrouvé toute leur souplesse et que les prothèses se soient stabilisées.
L’intervention aura permis une amélioration du volume et de la forme de la poitrine. Les cicatrices sont habituellement très discrètes. Le gain de volume mammaire a une répercussion sur la silhouette globale, permettant une plus grande liberté vestimentaire. Au-delà de ces améliorations physiques, le recouvrement d’une féminité pleine et entière a souvent un effet très bénéfique sur le plan psychologique.
Le but de cette chirurgie esthetique du corps est d’apporter une amélioration et non pas d’atteindre la perfection. Si vos souhaits sont réalistes, le résultat obtenu devrait vous donner une grande satisfaction.
Stabilité du résultat
Indépendamment de la durée de vie des prothèses et exception faite de la survenue d’une variation importante de poids, le volume des seins restera stable à long terme. Toutefois, en ce qui concerne la forme et la tenue de la poitrine, les seins augmentés subiront, comme des seins naturels, les effets de la pesanteur et du vieillissement, avec une rapidité variable en fonction de l’âge et des qualités de soutien de la peau, mais aussi du volume des implants.
Les imperfections
Certaines imperfections peuvent se rencontrer occasionnellement :
• une asymétrie de volume résiduelle, incomplètement corrigée malgré des implants de taille différente ;
• une fermeté un peu trop grande avec souplesse et mobilité jugées insuffisantes (surtout avec de gros implants)
• un aspect un peu artificiel, notamment chez les patients très maigres, avec une trop grande visibilité des bords de la prothèse, en particulier dans le segment supérieur.
• la perceptibilité au toucher des implants est toujours possible, surtout quand l’épaisseur de la couverture tissulaire (peau + graisse + glande) recouvrant la prothèse est faible. Cette palpation directe de la membrane prothétique, voire de plis, est plus fréquente chez les patients minces, avec des implants de gros volumes, remplis de sérum physiologique et en position prépectorale.
• l’aggravation d’une ptose mammaire peut être observée, surtout en cas d’utilisation de volumineux implants. En cas d’insatisfaction, certaines de ces imperfections pourront éventuellement bénéficier d’une correction chirurgicale après quelques mois.
Questions diverses
Grosesse/allaitement
Après une mise en place de prothèses mammaires, une grossesse est envisageable sans aucun danger, ni pour la patiente ni pour l’enfant mais il est recommandé d’attendre au moins six mois après l’intervention.
Pour ce qui concerne l’allaitement, il n’est pas non plus dangereux et reste possible dans la plupart des cas.
Prothèses et cancer
Jusqu’à récemment, l’état de la sicence laissait à penser que l’implantation de prothèses mammaires, y compris en silicone, n’augmentait pas le risque de survenue d’un cancer du sein. C’est effectivement toujours le cas pour les cancers du sein de loin les plus fréquents (adéno-carcinomes) don’t l’incidence n’est pas augmentée par la mise en place d’une prothèse mammaire. Cependant, dans le cadre du dépistage du cancer après implantation, l’examen clinique et la palpation peuvent être perturbés surtout en cas de coque périprothétique ou de siliconome. De même, la présence des implants peut gêner la réalisation et l’interprétation des mammographies de dépistage à faire régulièrement. Il faut donc systématiquement préciser que vous êtes porteuses d’implants mammaires.
Durée de vie des implants
Même si on peut voir certaines patientes conserver leurs implants plusieurs décennies sans modification majeure, il ne faut pas considérer la mise en place de prothèses mammaires comme quelque chose de définitif « à vie ». Ainsi, une patiente porteuse d’implants peut s’attendre à devoir un jour remplacer ses prothèses afin que l’effet bénéfique soit maintenu.
Les implants, quels qu’ils soient, ont une espérance de vie incertaine qu’il est impossible d’estimer précisément puisqu’elle dépend de phénomènes d’usure de rapidité variable. La durée de vie des implants ne peut donc en aucun cas être garantie. La durée de vie moyenne est estimée aux alentours de 10 ans. I faut noter toutefois que les implants de nouvelle génération ont fait de gros progrès en terme de résistance et de fiabilité. A partir de la dixième année, il faudra se poser la question du changement de prothèses si apparaît une modification de consistance.
Surveillance
La présence des implants ne soustrait pas à la surveillance médicale habituelle (suivi gynécologique et dépistage du cancer du sein), même si elle ne nécessite pas de faire réaliser des examens en plus de ceux liés à cette surveillance. Il est pour autant indispensable de spécifier aux différents médecins intervenant que vous êtes porteuse de prothèses mammaires. Une consultation de surveillance, spécifique aux implants, auprès de votre chirurgien plasticien, le Dr CHENNOUFI MEHDI, est conseillée tous les deux à trois ans, mais, en dehors de ce suivi, il est surtout fondamental de venir consulter dès qu’une modification d’un ou des deux seins est détectée ou après un traumatisme violent.
L’échographie mammaire est un examen non irradiant et très performant pour juger de l’intégrité de la prothèse. Une échographie doit être réalisée au moindre doute clinique et pour certains systématiquement 1 fois par an. Le changement prothétique n’est envisagé qu’en cas d’anomalie clinique ou radiologique ou encore à la demande de la patiente. Il n’est pas systématique passé en certain délai
Les complications envisageables
Une augmentation mammaire par prothèses, bien que réalisée pour des motivations essentiellement esthétiques, n’en reste pas moins une véritable intervention chirurgicale, ce qui implique les risques inhérents à tout acte médical aussi minime soit-il.
Cet acte reste notamment soumis aux aléas liés aux tissus vivants dont les réactions ne sont jamais entièrement prévisibles.
Hématome : l’accumulation de sang autour de la prothèse est une complication précoce pouvant survenir au cours des premières heures. S’il est important, une reprise au bloc opératoire est alors préférable afin d’évacuer le sang et de stopper le saignement à son origine.
Infection : rare après ce type de chirurgie. Elle peut ne pas être résolue par le seul traitement antibiotique et impose alors une reprise chirurgicale pour drainage et ablation de l’implant pendant quelques mois (temps nécessaire avant de pouvoir remettre en place une nouvelle prothèse sans risque).
Nécrose cutanée : Elle est consécutive à un manque d’oxygénation tissulaire dû à une insuffisance d’apport sanguin localisé, qui peut être favorisé par une tension excessive, un hématome, une infection ou un tabagisme important chez la patiente. Il s’agit d’une complication très rare mais redoutée car, à l’extrême, elle peut localement mettre à nu la prothèse, notamment par une désunion des sutures. Une reprise chirurgicale s’impose souvent, avec parfois la nécessité de retirer provisoirement l’implant.
Anomalies de cicatrisation : Le processus de cicatrisation mettant en jeu des phénomènes assez aléatoires, il arrive parfois que les cicatrices ne soient pas, à terme, aussi discrètes qu’escompté, pouvant alors prendre des aspects très variables : élargies, rétractiles, adhérentes, hyper ou hypopigmentées, hypertrophiques (boursouflées), voire exceptionnellement chéloïdes.
Altération de la sensibilité : Elles sont fréquentes les premiers mois mais finissent la plupart du temps par régresser. Rarement toutefois, un certain degré de dysesthésie (diminution ou exagération de la sensibilité au toucher) peut persister, en particulier au niveau de l’aréole et du mamelon.
Formation de « plis » ou aspect de « vagues » : Les implants étant souples, il est possible que leur enveloppe se plisse et que ces plis soient perceptibles au toucher, voire même visibles sous la peau dans certaines positions, donnant alors un aspect de vagues. Ce phénomène, un peu plus fréquent avec le sérum physiologique qu’avec le gel de silicone, survient surtout chez des patientes minces. Une intervention de lipomodelage (lipoflling mammaire) peut parfois être proposée. Elle consiste à apposer une fine couche de graisse sous la peau du sein afin de « camoufler » l’implant.
Coques : La réaction physiologique, normale et constante de l’organisme humain en présence d’un corps étranger, est de l’isoler des tissus environnants en constituant une membrane hermétique qui va entourer l’implant et qu’on appelle « capsule périprothétique ». Normalement, cette membrane est fine, souple et imperceptible, mais il arrive que la réaction s’amplifie et que la capsule s’épaississe, devienne fibreuse et se rétracte en comprimant l’implant, prenant alors le nom de « coque ». Selon l’intensité du phénomène, il peut en résulter : Un simple raffermissement du sein, une constriction parfois gênante, voire une déformation visible avec globulisation de la prothèse aboutissant à l’extrême à une sphère dure, douloureuse, plus ou moins excentrée.
De gros progrès ont été réalisés ces dernières années en matière de techniques chirurgicales, mais surtout de conception et de constitution des implants (gel cohésif, texture de la paroi) aboutissant à une diminution très sensible du taux de coques et de leur intensité. Le cas échéant, une réintervention peut corriger une telle contracture par section de la capsule (capsulotomie). Les prothèses recouvertes de polyuréthane peuvent être une solution en cas de coque récidivante.
Rupture : On a vu que les implants ne peuvent être considérés comme définitifs avec une durée de vie moyenne de l’ordre de 10 ans. Une perte d’étanchéité de l’enveloppe peut donc survenir à terme. Il peut s’agir d’une simple porosité, d’ouvertures punctiformes, de microfissurations, voire de véritables brèches. Cela peut être, très rarement, la conséquence d’un traumatisme violent ou d’une piqûre accidentelle et, beaucoup plus souvent, le résultat d’une usure progressive de la paroi due à l’ancienneté. Dans tous les cas, il en résulte une issue possible du produit de remplissage de la prothèse, avec des conséquences différentes selon la nature de ce contenu :
Malposition : déplacement un mauvais positionnement, ou le déplacement secondaire des implants, affectant alors la forme de la poitrine, peuvent parfois justifier une correction chirurgicale.
Rotation :Bien que relativement rare en pratique, le pivotement d’une prothèse « anatomique» reste théoriquement possible et peut affecter le résultat esthétique.